J’ai les terreurs d’une nuit
Un autre cauchemar, un autre cri
Dans la vie au bord de la rivière

“le maitre vient”, crié le fou
Et donc s’inclinent devant lui tous
Les betes de l’aire, de la terre, et de la mer

Abandonnez tout espoir, vous qu’ils approchent
J’ai le sentiment grave que le danger est proche
Il parait la mort seulement est sûre
Sincèrement, la somnambule
Sincèrement, la somnambule

Le mal se rapproche chaque jour
Et bien que cette bataille soit dure
Saint Jeanne a été pire testée que moi

Je sais comment saigne le coeur
Et je ne reculerai pas de peur
Regarde-moi devenir plus monstrueux que toi

Qui est la rêveuse, et qu’est-ce qu’elle rêve
Errant dans les rues, accablé de fièvre
Je vous prie, ne regardez pas une âme si nue
Sincèrement, la somnambule
Sincèrement, la somnambule


LUI:
And I looked and behold a pale horse:
And his name that sat upon him was Death,
And Hell followed with him.
And power was given unto them over the Earth
To kill with sword, and with hunger, and with death,
And with the beasts of the Earth.

ELLE:
Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur pâle.
Celui qui le montait se nommait la Mort
Et le séjour des morts l’accompagnait.
Le pouvoir leur donnait sur la Terre,
Pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine,
Et par les bêtes sauvages de la Terre

Soient les bêtes apportent leur fléau
Dit la somnambule
Je ne serai pas découragé
Dit la somnambule

Soient les bêtes apportent leur fléau
Dit la somnambule
Je ne serai pas découragé
Dit la somnambule

Soient les bêtes apportent leur fléau
Dit la somnambule
Je ne serai pas découragé
Dit la somnambule

Soient les bêtes apportent leur fléau
Dit la somnambule
Je ne serai pas découragé
Dit la somnambule

Sincèrement, la somnambule
Sincèrement, la somnambule
Sincèrement, la somnambule
Sincèrement, la somnambule